Du 06 au 08 Janvier 2021, la SPDH a organisé un atelier de formation à l’intention de la population cible du projet « Promotion de l’ouverture d’esprit de la femme rurale et renforcement de son pouvoir économique afin d’assurer sa considération sociale » dans les commune de RUGOMBO, BUGANDA, MUGINA ET MABAYI EN PROVINCE CIBITOKE

C’est un projet qui vient à point nommé pour soutenir les initiatives des vulnérables qui visent à relever leur économie. Cet atelier est un point de départ vers l’autonomie financière des bénéficiaires. A-t-il- insisté le chargé de projets à la SPDH qui a ouvert l’atelier. Notons que l’atelier a été rehaussé par la présence du Conseiller principal du gouverneur Monsieur Anicet Saïdi. Selon cette autorité, l’administration provinciale salue vivement cette initiative, étant donné que la province de Cibitoke connait un taux élevé des vulnérables. Il a prodigué des conseils envers les bénéficiaires du  projet notamment de suivre avec intérêt les enseignements  qu’ils vont suivre durant la formation. Cependant, l’administration va suivre de près les associations qui seront formées et ne tolérera jamais des actions de barbaries ou de malhonnêteté qui vont surgir entre les associés.

En effet, c’est sous la facilitation du consultant indépendant, Mr HAKIZIMANA Méthode, la formation était centrée sur la création et la mise en place des organes régissant les associations, la gestion des fonds entre les associés, les droits et devoirs des membres ainsi que le rôle de la femme dans la gestion des biens familiales (ses droits et ses limites). Pendant les trois jours de formations, les participants se sont réjouis des enseignements reçus.

Ainsi, après la formation, les communes nouvellement inscrites parmi les zones d’intervention de la SPDH  ont procédé à la mise en place des structures organisationnelles. Pour chaque commune, il y a un groupement de dix bénéficiaires qui se répartissent en deux sous groupements. Après la mise en place de ces structures susmentionnées, les représentants de ces groupements ont procédé à la signature des contrats qui les lient avec la SPDH dans la mise en œuvre du projet.

Enfin, l’atelier a été clôturé par des témoignages manifestant les acquis positifs de la formation par certains des participants et la prise d’une photo de groupe dans un climat  d’entente mutuelle.

La session d’atelier d’échange du 15 au 16 Décembre 2020 sous le thème de : «  L’élaboration du budget sensible aux genres et aux droits de l’homme à l’ intention de l’administration communale et les nouveaux élus.» a été organisé par La SPDH  en partenariat avec l’OXFAM international Burundi a à l’hôtel City Hill. Le but de l’atelier était de sensibiliser les conseillers techniques administratifs et  les conseillers communaux de zones d’interventions du projet sur les questions de genre et de droits humains. Ces représentants élus par la population devraient prendre à cœur ces questions car ils sont souvent des barrières qui peuvent ralentir le progrès de la population.

En effet, pour réussir à élaborer un budget sensible au genre et aux droits de l’homme, les élus de chaque commune des provinces de Cibitoke et Bujumbura rural doivent identifier les besoins et les groupes vulnérables de leurs communes. Une fois qu’ils les auront ciblés, ils doivent établir un cadre logique et sa mise en œuvre pour ainsi mobiliser les fonds. Ces derniers peuvent être des recettes internes ou externes. Ensuite, pour s’assurer que le budget est effectivement utilisé pour les services sociaux auxquelles il était destiné, un suivi au court du projet sera fait. Enfin, les conseillers communaux et les conseillers techniques et administratifs doivent faire une évaluation pour mesurer l’impact de leur projet.

L’atelier d’échange qui a vu la participation des officiers de police, les juges et magistrats ainsi que les acteurs de la société civile et responsables des plates formes politiques de la province de Bubanza visait d’une part à éclairer l’opinion sur la démarche à suivre pour obtenir les autorisations nécessaires avant l’organisation de toute manifestation publique. 

Cela permettra aux différents acteurs clés de jouer réellement leur rôle d’encadreurs de la population et des communautés lorsque ces dernières expriment l’intention d’organiser des manifestations pour faire attendre leurs voix. D’une autre part, l’atelier portait aussi sur la vulgarisation des techniques de résolution pacifique des conflits et leur transformation positive envers les acteurs potentiels dont les jeunes affilés aux partis politique et les femmes leaders communautaires. Les échanges se sont soldés par la mise en place des comités des « Médiateurs/Pacificateurs communautaires » ainsi que la distribution des bouquets/livrets de poche résumant les divers outils et techniques utilisées dans la résolution pacifique des conflits et dans leurs transformations positives au participant.

Le 20 Décembre de chaque année, les nations unies célèbrent la journée Internationale de la solidarité humaine. C’est une coutume qu’elles partagent avec la SPDH, puisque la solidarité est le cœur même de l’association. La solidarité est ainsi une des plus importantes valeurs sociales et celle requise par excellence pour le développement durable humaine, sociale et économique.

En effet, l’objectif de l’association SPDH dans tous ces projets de développement est de contribuer à l’amélioration du bien-être de la population par la promotion des valeurs démocratiques, l’égalité des genres, le renforcement de la cohabitation pacifique, la lutte contre la violation des droits humains, la toute forme de discrimination des personnes les plus vulnérables et l’intégration socioprofessionnelle.

Ainsi, la SPDH est orientée vers la transformation positive de la société burundaise et cherche à contribuer à édifier « une société burundaise suffisamment transformée et orientée vers plus de justice, égalité des genres, de paix et de réconciliation, en marche vers un développement durable et intégral ».

Du 28 au 30 Décembre 2020, la SPDH a organisé un atelier de formation à l’intention de la population cible du projet « Promotion de l’ouverture d’esprit de la femme rurale et renforcement de son pouvoir économique afin d’assurer sa considération sociale » dans les communes de Kayanza, Gahombo, Muruta et Matongo en province Kayanza.

L’activité a été lancée par le représentant de la SPDH en province de Kayanza. Notons que l’atelier a été rehaussé par la présence du Conseiller social du gouverneur, les conseillers techniques administratifs et sociaux des administrateurs des communes Muruta et Kayanza. Selon le conseiller social du gouverneur Monsieur NYABENDA Melchior, la SPDH constitue une valeur ajoutée parmi les organisations qui œuvrent dans le développement de la province de Kayanza. Cet administratif a prodigué des conseils envers les bénéficiaires du  projet notamment de suivre avec intérêt les enseignements  qu’ils vont suivre durant les 3 jours de formation ainsi que la mise en pratique des acquis de la formation.

Sous la facilitation d’un consultant indépendant,  la formation qui a duré trois jours a eu de pleins succès comme en témoigne les participants à l’atelier. A toutes fins de compte, les communes de Muruta et Gahombo nouvellement inscrites dans les zones d’intervention de la SPDH, leurs bénéficiaires ciblés ont été dotés de structures organisationnelles. Deux sous groupements pour chaque commune Gahombo et Muruta ont été formé.

Après la mise en place de ces structures susmentionnées, les représentants de ces groupements ont procédé à la signature des contrats qui les lient avec la SPDH dans la mise en œuvre du projet. Enfin, l’atelier a été clôturé par des témoignages manifestant les acquis positifs de la formation par certains des participants et la prise d’une photo de groupe dans un climat  d’entente mutuelle

La SPDH célèbre la journée internationale des droits de l’homme. L’association contribue à l’amélioration du bien-être de la population par la promotion des valeurs démocratiques, l’égalité des genres, le renforcement de la cohabitation pacifique, la lutte contre la violation des droits humains, de toute forme de discrimination des personnes les plus vulnérables et l’intégration socioprofessionnelle.

La SPDH cible la population en général, des personnes marginalisées comme les femmes, les autochtones et de la jeunesse en particulier en s’assurant qu’ils aient les mêmes droits que les autres. Les femmes rurales vulnérables et les personnes vivant avec handicap sont aussi des cibles privilégiées de la SPDH au niveau de lutte contre toute forme de discrimination et la lutte pour l’autonomisation financière et l’amélioration du pouvoir d’achat.